SWIM + BIKE + RUN = TRIATHLON

Pour atteindre un objectif, soit on se donne les moyens, soit on se trouve des excuses.

samedi 18 mai 2019

MOI, MOI, MOI.



Ce n’est pas une crise d’égocentrisme que je vous fais là.

Non, mais il reste encore 3 mois (moi, moi, moi) à Loulou le Cauchois et à moi le Palois, pour devenir IronMen Copenhagois…
Ma fois. Pour être couronner comme des rois, il va falloir qu’on y croit à ces derniers mois. Et j’y crois !

Notre futur proche ?
Borner comme il se doit, passer des bosses comme des chamois, flotter comme des morceaux de bois ou nager comme des baudroies et surtout enregistrer et se caler des allures d’iroquois, le tout sans désarroi ni blessure de surcroit, voilà ! Et pour cela, tout se prévoit. Loulou et moi, on s’y emploie.

Toutefois, on vous livre les ingrédients secrets que l’on prévoit: d’abord un planning très adroit, à l’écoute de soi, puis des repas de rois à base de petits pois et de foie gras (si si…) le tout arrosé de Badoit. Et à partir de là, tout ira !
C’est simple quoi !

Car à partir d’aujourd’hui, tout choix maladroit peut devenir chemin de croix, voire sournois. Le corps a ses limites que la raison n’ignore pas. Et le but n’est pas de casser la courroie ni de lâcher l’abrupte paroi…. sinon, patatras, caca au doigt (fallait que je la sorte celle-là).
L’écoute de soi est donc une religion, une foi, une loi, une voix intérieure qui doit guider nos pas. Le vrai secret est là. Atteindre son but avec sang-froid. Pragmatique et droit. Au bon moment, faire le bon choix. Du style : récup’ ou bien j’envoie ? Ben oui ! On n’a qu’une machine non d’une coquille de noix !

Je vous l’avoue.

Je frétille déjà comme un anchois rien qu’en pensant à nos exploits, à ces moments de choix qui nous mèneront au bout du périple et de l’exploit. Je vois, oui, je vois, nos proches crier comme des putois « Allez les gaulois ! », frapper des mains, taper des pieds, gauche, droit, tout en sautant de joie et partager enfin ces instants-là en nous prenant dans leurs bras.

Il est de ses endroits où l’on côtoie la joie : on y lève les doigts vers le ciel avec émoi, on y verse des larmes, parfois, mais surtout on y apprend sans cesse… pour la prochaine fois.



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