SWIM + BIKE + RUN = TRIATHLON

Pour atteindre un objectif, soit on se donne les moyens, soit on se trouve des excuses.

lundi 19 février 2018

5 MAXIMES A RETENIR !



Le Triathlon est un sport complexe, difficile et, que même si c’était facile, tout le monde en ferait.


Néanmoins, pour réellement se faire plaisir, ne pas entrer dans la spirale du sur-entrainement et pour beaucoup d’entre nous réaliser de belles performances, et atteindre son objectif, il est préférable de suivre les 5 maximes qui vont suivre.



1/ S’entrainer moins est toujours mieux que s’entrainer trop.

Ne vous imposez pas trop de volumes hebdomadaires et des séances de barbares, celles dont on est fier une fois qu’elles sont terminées, mais qui malheureusement font beaucoup plus de dégâts que de bienfaits. Il faut savoir s’écouter et lever le pied dès que la fatigue pointe le bout de son nez. Surtout à quelques jours d'une échéance.



2/ Un champion ne s’est pas construit en un jour.

La régularité et la linéarité sont la base de l’entrainement en Triathlon. Faire une semaine de 18h, enchainée avec une semaine de 6h voir moins, dessert. Autant s’imposer 8-10h hebdomadaires bien équilibrées que de « yoyoter » entrainant des troubles dans la récupération ou générant une lassitude éventuelle. En fait, respecter un cycle de 4 semaines, avec 3 semaines chargées et 1 semaine plus light, est le moyen le plus efficace pour progresser.



3/ La récupération fait partie intégrante de l’entrainement.

Toujours garder en tête que la récupération fait partie de l’entrainement. Ne pas hésiter à prendre un jour complet de repos après une séance difficile. S'écouter, se reposer pour repartir de plus belle. 



4/ Secouer l’organisme, le seul chemin vers les progrès.

Il faut intégrer dans les séances des pics d’intensité qui représenteront environ 15-20% de l’entrainement général. Ces sollicitations, parfois dures, sont le passage obligé vers l’amélioration  de la condition physique et de la performance. Celui qui travaille toujours au même rythme, restera toujours sur le même rythme. J’appelle cela, l’effet diesel ou comment brider le moteur. L’intensité est le catalyseur de la performance.



5/ Se tester pour se rassurer.

A l’approche de la compétition majeure, effectuer des blocs à allure de course pour vérifier que vous êtes capables de tenir une allure pendant environ un tiers de la durée globale de l’effort attendu. Se rassurer psychologiquement, valider physiologiquement les acquis et se mettre en condition de course. Attention néanmoins, il faudra être très prudent et ne pas abuser de ce genre de séances. Cela ne signifie pas qu’il faut se tester chaque semaine car ces sollicitations doivent être effectuées dans un excellent état de forme et avec une bonne disposition mentale.

Après... YAPUKA !


1 commentaire :

  1. L'intensité à l'entraînement, c'est comme les épices en cuisine. Il faut en mettre pour sublimer le plat ... mais pas trop :)

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