QUAND LA RIME PROSE.

A travers quelques rimes je m’exprime, parce que le rythme grandissime des richissimes semaines extra-sportives en surrégime qui viennent de passer, opprime de manière gravissime mes entraînements légitimes.

Tout d'abord les infimes séances aquatiques sont trop minimes pour espérer quelconque frime. Je me brime de techniques natatoires simplissimes avec de nombreux éducatifs illégitimes. J’imprime ainsi une pantomime qui débouchera bientôt sur de grandissimes progrès aquatiques, j’y crois.

En VELO, c’est nullissime. Victime magnanime d’un crime météorologique illégitime, le pauvre Ridley n’a pas vu le bitume et tout le toutime depuis octobre. Snif !

Enfin, en CAP, là, je m’exprime. J’estime avoir fait des progrès légitimes grâce aux séances brillantissimes réussies sans payer un centime. Passer de pusillanimes séries de 1000m sans se sentir victime d’essoufflements ultimes fut la récompense du bon rythme que je m’imprime.

En prime, du gainage et un sublime régime, et me voilà prêt pour entamer un autre rythme. 

Pouuf dur dur le gainage !

La météo est encore morose et ma forme du moment est encore loin de l’apothéose. Même si de grandioses séances se juxtaposent créant dans mon esprit une belle psychose, il ne manque parfois par grand-chose pour que j’explose. Oh ce n’est pas le manque de glucose ni de fructose qui me plongent dans cette anamorphose, mais du sucre, je limite la dose, et cela contribue à une métamorphose. Finie la névrose sinistrose, ça ne sert à pas grand-chose, car je suis de ceux qui se transposent, se recomposent et finalement s’imposent !

Aussi en pleine osmose, je ne laisserai pas arthrose, lordose, scoliose, aponévrose, ostéoporose ou autres mycoses, toxoplasmose, myxomatose (il fallait que je les place ces deux derniers là) envahir mon corps telle une cirrhose ou même une pernicieuse tuberculose. 

Non ! Je suis actif ! Actif ! Les séances réalisées sans overdose osent me prouver que je peux envisager l’avenir en… ROSE.

Je pratique la PPG comme une névrose pleine de courbatures et d’ecchymoses. 

En Natation, la marge dont je dispose n’est pas close. Les éducatifs ont montré de belles choses. 

Le Ridley lui se repose puisqu'il reste en chambre close. 

Enfin, en CAP, je mesure vraiment les choses. Les fractionnés composent des séances si différentes, en symbiose, sentiments partagés entre pure névrose et digne apothéose. 

Comme une fleur éclose, chers lecteurs, les mots se superposent et s’interposent. Aussi, tel un virtuose doté d’une belle schizonévrose, une pause s'impose. Allez, je me repose.