SWIM + BIKE + RUN = TRIATHLON

Pour atteindre un objectif, soit on se donne les moyens, soit on se trouve des excuses.

mercredi 13 juillet 2022

70.3 SABLES D'OLONNE ! UN JOLI HALF !

 


Dimanche 3 juillet 2022, nous étions aux Sables d'Olonne en Vendée pour le Triathlon Half IronMan 70.3. Ma petite famille au complet ainsi que la Team Zoot Europe avec un grand regroupement de 32 membres.

Nous arrivons le vendredi 1er Juillet très tard, car Adrien passait son Brevet des Collèges. Nous n'avions pas d'autres choix que d'attendre la fin de la dernière épreuve pour ensuite prendre la route, 5h de voiture au total. Nous arrivons donc vers 23h au camping.

Le lendemain matin, je me lève tôt pour faire une séance vélo de déblocage. Les enfants profitent pendant ce temps des toboggans du camping. Avant le repas de midi, nous allons récupérer le dossard. Repas à base de sucres lents. Puis, vers 14h, il sera temps d'aller déposer le vélo dans le parc ainsi que les sacs de transition. 

A 16h, nous avons rendez-vous avec la course des Kids ! Sacha participe en effet à la course de 8/9 ans et avec la Team Zoot, nous encouragerons Nathan, le fils d'un membre de l'équipe, qui bouclera son petit aquathlon sous les ovations du public et accompagné par la Team. 

Nathan, autiste, passera la vraie arche IronMan porté par le public, la Team et son Papa. Un très beau moment qui restera sans doute longtemps dans la mémoire de Nathan et de sa famille...

***

Puis c'est au tour de Sacha de s'élancer. (100m de Natation / 500m de CAP)

Départ sur la plage des 50 participants avec 100m de CAP avant de rejoindre l'océan et de contourner deux bouées... 

Sacha s'en sort très bien, puisqu'il nage presque tout le long... Il sort de l'eau bien placé, vers le 6ème place. Il rejoint rapidement l'aire de transition...

Dans sa caisse, il récupère ses chaussures, la ceinture porte dossard, mais également doit enfiler le T-shirt de la course, avec lequel il aura beaucoup de mal puisque d'habitude on reste en trifonction. Il perd pas mal de temps.

Finalement, il s'élance comme une furie. 


Il monte les marches et c'est parti pour 500m de CAP sur le remblai. Il remonte des places qu'il a notamment perdues lorsqu'il enfilait son T-shirt. Sur le retour, il aborde le tapis IronMan avec fierté... 

Il est 8ème et sprinte sur la fin pour pouvoir conserver sa place... Bravo ! Bien joué Sacha... te voilà IronKid et bien entendu avec des images plein la tête d'avoir franchi une ligne IronMan.



La course finie on récupère ses affaires et on part trop vite, car j'en oublie de faire la photo souvenir avec toute la Team Zoot. Fichtre. 

La soirée passe assez vite. J'ai sommeil et me couche à 22h. Demain, il faudra se lever à 5h. 

Cependant, la fin de nuit sera courte, réveillé comme toujours bien avant le réveil sonne, vers 4h du matin. Des matins de course, comme je les aime, avec l'excitation qui monte petit à petit.

***

Nous passons par l'aire de transition pour gonfler les pneus de l'Argon et installer les bidons, les ravitaillements... 

Nous sommes serrés comme des sardines dans ce parc, c'est incroyable. Pas terrible. Et comme d'habitude avec des barrières trop basses lorsqu'on a des bidons derrière la selle.


Une fois les préparatifs terminés, nous partons en marchant, comme la plupart des athlètes, vers la plage de départ qui se situe à environ 20mn de marche du parc à vélos. Réveil cardiaque idéal. 

Mon heure de départ est prévu à 7h51, nous avons du temps...

Arrivés sur la plage, nous regardons partir les pros et certains groupes d'âge. Les athlètes sont lâchés par 8 unités toutes les 6 secondes avec un compte à rebours au même son que pour les départs de Mario Kart.

Je m'échauffe gentiment, après un passage par les toilettes. Je croise Sébastien de Pau Triathlon, qui avait fait Mimizan lui aussi il y a quatre semaines. Sébastien part 10mn avant moi.

J'enfile la combinaison. Et me voilà prêt pour rejoindre le sas de départ.


Je rejoins les bonnets violet, GA 50-54.

Après quelques mètres dans l'océan pour sentir la température de l'eau, je rentre dans le sas d'attente au son des bips de départ qui résonnent... 

Toutes les 6 secondes, c'est un pas en avant... Je vois ma moitié sur le remblai, qui me cherche parmi tous ces pingouins... j'agite ma main. Mais elle ne me voit pas. Tant pis ! Dans quelques secondes ce sera mon tour.

Bip ! Bip ! Bip ! Bip ! Bip ! Biiiiiiiiiiiiippppp ! 

Le dernier bip est plus long, il signifie qu'on peut s'élancer, la ligne de 8 athlètes est libérée.

Bip ! Bip ! Bip ! Bip ! Bip ! Biiiiiiiiiiiippppp ! 

Allez, le prochain c'est pour moi.

Bip ! Bip ! Bip ! Bip ! Bip ! Biiiiiiiiiiiippppp ! 

Gooooo... je pars en courant et me jette dans l'eau.

Mes supporters via le live savent désormais que je suis parti !

NATATION : 1.9kms dans le port des Sables

Départ de la plage, puis nage dans le canal de l'arrivée du Vendée Globe jusqu'au ponton d'arrivée où se trouve le parc à vélos.


Je pars bien, bon rythme, bonnes sensations... d'entrée de jeu... La partie dans l'océan est assez magique, eau claire, peu de vague, j'adore nager en mer. Le rolling start est vraiment un vrai bonheur, très peu de gêne, même pour contourner les bouées... et pourtant, je suis parti dans les derniers, donc il y a plein de monde devant.

Je remonte d'ailleurs plein de concurrents. Même ceux partis une, deux, trois vagues auparavant soit environ 15mn. 


Pas d'épaules lourdes, je prends un maximum d'eau, vraiment tout se passe bien.


Quand je rentre dans le canal, je vois ma petite famille qui me suit sur la jetée. J'effectue même des signes de main pour leur faire coucou.


Je vois qu'Adrien me dit de mettre des jambes, qui c'est vrai j'utilise peu... enfin pas sur du long.


Quoiqu'il en soit, je passe plein de concurrents. Je double, je double et le rythme est correct.


La Natation va passer très vite. Pour être honnête, il m'en manque un peu, je serais bien resté encore... 

Le ponton finit pas arriver. Je m'extirpe de l'eau. Lunettes sur le bonnet, partie supérieure de la combinaison vite retirée, je cours et remonte encore des places. J'arrive à la hauteur de Lobast que j'encourage au passage.


J'apprendrais à fin de la course que j'ai fait le 16ème temps Natation de mon GA sur 244. Pas mal.

Transition 1

C'est donc une transition un peu longue. Course sur le ponton. Je cours plus vite que la moyenne et double...


J'arrive à mon emplacement. Je finis par retirer le bas de la combinaison néoprène et enfile tout ce qu'il faut pour le vélo. Chaussettes, chaussures, lunettes, casque, ceinture porte dossard... Je remets la combinaison dans le sac et c'est parti.

J'avais très bien repéré ma place dans le parc à vélos, donc je ne perds pas de temps. En quittant ma position, Y4nn1ck m'interpelle. "Salut Fred !" "Ooooh salut Yannick, bon vélo", une grosse surprise, surtout qu'on n'a pas réussi à se voir avant et qu'on se retrouve finalement en même temps dans le parc... Marrant.

Je ne traine pas et file vers la sortie du parc. 

VELO, 91.5kms avec 650m de D+, vallonné mais sans plus


Je monte sur le vélo sur lequel j'ai bien l'intention de faire un bon chrono, parce que cela compensera mon manque de préparation en CAP.

C'est parti...


A peine sorti, on se retrouve avec Lobast. Notre échange est très rapide. 


Il m'annonce qu'il cherche un 4h40. Je lui dis que çà pourrait être aussi dans mes cordes, sauf qu'en CAP, je coincerais sans doute parce que je ne suis pas suffisamment prêt. On roule un peu côte côte. Là, on est au départ, et comme on est parti dans le dernier GA, forcément, il y a du monde sur la route et difficile de respecter les 12m réglementaires.


D'ailleurs, sur les 30/40 premiers kilomètres, pas évident de respecter la règle.

On est au tout début, KM3, Lobast bénéficie d'un meilleur passage de concurrents et s'échappe. Il s'est bien mieux faufilé que moi... Bien joué. Je l'ai quelques temps en ligne de mire, puis, je le perds... Je ne reviendrai pas. Tant pis.

On va s'en tenir au plan. Rouler à 37km/h de moyenne.

Le début est assez pénible, avec des virages, quelques trous dans la chaussée et également une toute petite route qui monte un peu avec un revêtement pas terrible du tout. A cela s'ajoute un peu de vent de face... bref, la moyenne tombe, pas grave, je ne fais que doubler.

C'est au tout début du parcours que je perds un de mes bidons avec ma boisson magique. Mince. Il ne me reste que 750ml sur les 1500ml prévus. Va falloir se ravitailler en eau quand ça sera possible... Je suis un peu dégouté de cette perte. Mais pas le choix. Faut se concentrer sur la course. On fera avec, ou plutôt sans le bidon perso.

Après le KM20, les routes sont de meilleure qualité. J'avance, allongé sur le cintre aéro, j'encourage chaque fois que je double une coéquipier Team Zoot et je double, je double. Par moment, je file à plus de 40km/h. C'est grisant de doubler sans arrêt.

Certains concurrents sont avec des roues lenticulaires et draftent à quatre ou cinq. Je m'écarte à chaque fois pour ne pas profiter de l'aspiration. A un moment, je pète un plomb. J'appuie fort pour laisser le petit paquet loin derrière et faire ma course... 4/5kms plus loin, le même paquet me repasse. Je sais que ce sont les mêmes, il y a un "Ian" dans le groupe...

Et les arbitres qui arrivent, sont vraiment trop gentils. Des coups de sifflet pour les disperser, mais aucun carton. Dégoutant. Car quelques centaines de mètres plus loin, les mêmes roulent encore roue dans roue.

KM40, je double Sébastien. On s'encourage. Il ne me suit pas.

Je suis super bien posé. Ma moyenne est à 37km/h. Parfait ! 

Arrivé au KM50, le vent devient favorable et ceci quasiment jusqu'au retour. En plus il y a bien moins de montées... La moyenne augmente encore...

Je ne fais que doubler. Je me retrouve avec un jeune GA 25-29 qui roule à peu près à la même allure que moi... on fait des chassés croisés, sans jamais drafter, réglo. Et on passe plein de concurrents. Il est là devant moi sur le cliché suivant.


On passe une vingtaine de kilomètres ensemble. 

Le KM 80 est déjà là. On prend une portion avec un super bitume tout neuf. Je roule à presque 50 km/h... ça sent la fin ! Je serai sous les 2h30.

Les derniers kilomètres sont à nouveau un peu en zig-zag et le bitume moyen. Ca sent l'écurie. Excellente remontada en tout cas...

Le parc à vélos approche. Je défais les chaussures...



2h23 de VELO, 8ème VELO du GA 50-54 sur 244 et 140 temps au général sur 2600 participants... je suis super content de cette partie, même si je ne connais pas encore le classement... Ce que je sais, c'est que j'ai eu de très bonnes jambes et que j'ai roulé à 38.6 km/h de moyenne, annoncé par mon Garmin.

Transition 2

Descente du vélo. Traversée du parc. Il n'y a pas tant de vélos que çà. Je rejoins mes sacs de transition sans oublier de retirer le Garmin du vélo que je glisserai dans le sac de transition. Je ne vais pas aussi vite que souhaité, le booster que je dois mettre du côté puce chronométrique se coince. Je dois renouveler l'opération...

Et hop ! C'est parti pour un semi-marathon.

CAP : deux boucles sur le remblai des Sables d'Olonne


Depuis le port, il faut rejoindre la plage puis effectuer les deux boucles.

Je pars sur un rythme prudent. Je n'ai pas eu une bonne préparation en CAP, et je sais que cela risque d'être compliqué. Néanmoins, j'espère bien courir en 4'40'' au kilomètre, un peu comme au Triathlon de Mimizan, 4 semaines plus tôt.


L'allure prudent au démarrage semble me convenir. Pourtant, après 400m, une crampe arrive au quadriceps gauche, un muscle qui ne pose jamais de problème d'habitude. Je suis confiant, ça va passer... il faut toujours un peu d'accoutumance avant que tout re-rentre dans l'ordre.

J'avance. Ca n'a pas l'air de vouloir partir. Le quadri gauche est dur. KM1, en 4'50''. Parfait. Une fois que la portion de sable (400m à courir sur la plage sera passée), on lâchera un peu, enfin c'est ce qui est prévu...

Le passage sur le sable est plus facile qu'espéré. Et le début de la crampe au quadri a fini par disparaitre... Génial ! Ben il n'y a plus qu'à.

Je monte les marches pour rejoindre le remblai. Et c'est parti.

J'arrive à maintenir une allure à 5mn au kilo, parfois même un peu en dessous, mais étrangement, je sens que ce sera difficile de faire mieux. Trop donné sur le vélo, pas assez alimenté sur le vélo où j'ai perdu un des bidons avec ma boisson miracle ??? Aussi, au premier ravito, je marche et j'ingurgite gel et eau.

J'ai en ligne de mire deux athlètes Zoot. L'écart se resserre au début, je fonds sur eux, mais comme je m'arrête à chaque ravito pour boire, et pas eux, jamais je ne les rattrape. Et je sens que j'ai besoin de me ravitailler... eau, gel, coca... J'en ai vraiment besoin et il est hors de question d'en sauter un.

On s'encourage dès qu'on croise une trifonction Zoot. Je ne double pas grand monde. C'est plutôt le contraire qui se produit dans cette première boucle. Et l'aller pour faire demi-tour sur le remblai me semble interminable.


La moyenne chute. Je cours péniblement en 5'15'' et j'ai beau essayer de faire mieux, çà ne veut pas. Je suis scotché au bitume et dans l'allure.

Le demi tour en bout de remblai arrive. Je reviens vers la ligne d'arrivée. Peu après le demi-tour, je croise Sébastien qui m'encourage. Il a l'air de courir fort, il ne tardera pas revenir sur moi c'est sûr... Je rêve de son allure.

J'avance, c'est un peu en descente mais cela n'aide pas plus que çà. Le contournement du lac est assez sympa, moins monotone... enfin, on revient sur le bord de la plage... et j'avance comme je peux.


Juste avant le demi-tour pour la seconde boucle, Sébastien me double. Ma petite famille est là pour m'encourager, mais je ne suis pas au mieux... La Team Zoot prend de super clichés... Merci ! 

Hop demi tour ! Allez encore un et ce sera fini. Heureusement qu'aujourd'hui il n'y a pas de marathon... 

Dimitri me crie de relancer, mais je n'ai pas de conviction. Je suis un peu atteint.


D'ailleurs, je me fais la remarque. Je cours plus lentement mon semi d'aujourd'hui que mes marathons IronMan de Vichy et Copenhague. Je suis dégouté !

C'est à cet instant que Yannick me crie "Allez Fred"... Super ! Yann' est en train de faire une belle course... il a l'air mieux que moi en CAP. Excellent !

C'est reparti. Il faut aller rechercher le bout du monde au fond du remblai pour avoir le droit de revenir... c'est long, très long. Je suis planté à 5'30'' au kilo.


Je suis presque au demi-tour, quand je vois Sébastien qui repart dans l'autre sens. Il est au même endroit que lorsqu'on s'est croisé sur le premier tour. Sauf que là, il n'a pas l'air au mieux... Ses 5 derniers kilomètres vont être longs. Il faut dire que Seb' est parti fort, presque 15km/h, et avec la chaleur, il doit payer cash son départ rapide.

Je fais demi-tour. Chaque ravitaillement devient un objectif. Et enfin, il ne me reste plus que 5kms. J'ai le sentiment d'accélérer, d'aller plus vite. D'ailleurs c'est ce qui se passe, je me sens mieux, j'accélère... mais le Garmin est un juge de paix implacable. Je ne vais pas plus vite. Non, tout pareil. 5'25'' - 5'30'', pas mieux ! Un truc de dingue...

Eh ben tan pis ! Le tour de lac arrive. Il passe bien. Allez, c'est bientôt fini.

Je rentre dans les deux derniers kilomètres. J'entends au speaker que Sébastien vient de terminer, en un peu plus de 5h. Ca me booste. J'accélère un peu, je passe même sur le dernier kilomètre sous les 5' au kilo. 


L'arrivée approche. Je suis sur le tapis. C'est enfin fini la galère CAP du jour.

Je tape les mains des enfants au passage... et je file vers la ligne d'arrivée. 



Je passe sous les 5h. Pas de beaucoup ! Satanée CAP ! Un semi marathon couru avec presque 15mn de trop... mais honnêtement, ce jour-là, je ne pouvais pas faire mieux. 5'21" de moyenne. 20" au kilo plus lent que les marathons IronMan. Purée...


Je termine 31ème de mon GA 50-54 sur 244 
403ème au général sur 2600 athlètes. 
C'est finalement un bon résultat. 
Mais arriver 8ème du vélo et finir 31ème, ça laisse forcément un peu de déception dans la tête.

Le bilan est néanmoins très positif. Très bonne NATATION, Excellent VELO, une CAP en demi-teinte, mais je m'y attendais un peu, pas assez de volume en raison des problèmes de mollets que j'ai eus pendant quelques mois.


La course finie, je retrouve Sébastien assis contre une barrière. Il a l'air d'avoir donné... Puis je croiserai Yannick au ravitaillement et avec lequel on échangera un peu, 


pas assez longtemps, car nous devons rendre notre logement pour 15h, donc le planning est serré. 

Nous n'avons pas trainé. Affaires récupérées au parc à vélos à vitesse grand V, puis direction le camping pour libérer le bungalow. 

Et derrière, ce fut 5h de route pour rejoindre la maison... très très grosse journée !!!!

***

Encore merci à ma petite famille pour le support inconditionnel, aux belles photos, à la Team Zoot et les superbes couleurs de la Trifonction, et à mes supporters "de loin", cachés derrière leurs écrans et qui me poussent à distance...

Le cinquantenaire a encore de bonnes jambes !!! 





3 commentaires :

  1. Encore un vrai plaisir de lire ce compte-rendu et de revivre l’événement. Bravo à Sacha et toi pour votre course, j’espère que nous aurons d’autres occasions de courir ensemble 😀Sebastien

    RépondreSupprimer
  2. Une belle course, content d'avoir pu te croiser et papoter un peu, a bientôt

    RépondreSupprimer
  3. Toujours sympa de lire cette passion. Très très gros vélo. Ça laisse rêveur.
    Et un potentiel en cap qui laisse espérer de jolies choses.
    Vraiment bravo
    Sans oublier ta petite famille. Bravo à elle aussi.
    Julien C altriman

    RépondreSupprimer

Ecrivez un message