J’y vais ou je n’y vais pas ?
Depuis début octobre, notre planning
familial est devenu super hyper méga chargé : il faut désormais composer avec
l’activité additionnelle prenante de Mme BipBip et des horaires complètement
aléatoires, les activités des trois garçons, le boulot et
puis tout le reste.
Caser çà et là quelques séances est
devenu du jonglage.
Et il est encore bien plus ardu de planifier une
saison de Triathlon.
Début septembre, j’ai failli valider une date
IronMan de l'autre côté de l'Atlantique… Mais y aller pour y aller : non ! Si je vais
là-bas, ce n'est pas pour simplement couper une finish
line.
Aussi, je réfléchis de plus en plus à un plan B, plus
près de la France, avec un objectif intermédiaire. J’ai entouré quelques dates
sur le calendrier, mais, à ce jour, je suis encore parfaitement
incapable d’en valider une seule… Y aura-t’il un IM en 2018 ?
C’est déstabilisant de ne pas savoir si je trouverai assez de temps pour m’entrainer… Le Triathlon est un sport très chronophage et difficile à organiser dans un quotidien bien réglé, alors quand rien n’est vraiment fixé… pas facile.
Maintenant, d'un autre côté, quand une inscription est validée, on arrive
toujours à se donner les moyens d’y arriver en faisant les séances en décalé: comme se lever très tôt le matin, rester dans le garage le soir dès que les enfants sont couchés
plutôt que de se caler devant la TV ou aller courir sous les lampadaires… On n'a rien sans rien.
Rapidement tu t’organiseras, rapidement tu
t’adapteras…
Bref, je m’accorde
alors quelques semaines supplémentaires de réflexion.
J'irai ou je n'irai pas ?
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